Ce vaillant cavalier s'en alla guerroyer et défendre le Blason du Dunois en terre du Roi soleil.
C'est dans une brume Francilienne qu'il découvrit le champ de bataille et constata que certains s'étaient donnés RDV afin d'en découdre d'un titre mondial UNSS. De belles joutes.
Arriva, le temps ou le Marquis revêtit son plus bel habit, bleu turquoise pour en découdre avec tous ces gueux. Seulement, voilà, ils s'harnachèrent en armure noire, avec un casque bleu et de drôle de lunettes.
Point dépourvu, le Marquis troqua son bleu de chauffe contre une belle Orca. A ce moment précis, il pu satisfaire un besoin naturel, d'où le surnom.
Puis, le grand bain arriva, on reconnu sa bravoure, il frappa, coula, gifla, ses gueux mais toute cette énergie l'empêcha de rejoindre son destrier dans de bonne condition.
Il lui en fallu plus pour le décourager, il chevaucha sa monture et parcouru à toute allure etb cheveux au vent les tours de pistes, emmenant comme à son habitude un tas de fainéants affranchis et autres suceurs de roue.
Puis, il enchaina une course poursuite après ses traites, terrorisés à l'idée de périr sous les coups.
Le Marquis avait emmené dans son carrosse son petit fillau Antonin Le Malin, il finira 26e en 1H06 et 3e cadet.
Fort d'avoir fait de l'ombre à ce prétentieux Roi, le Marquis regagna ses terres avec le sentiment du devoir accompli.
L'histoire ne dit pas si le Marquis s'enivra ensuite de houblon.
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